TRUE TRIPS de MICHAEL BAUMGARTEN

Michael voit des choses que nous ne voyons pas. Heureusement, lors de ses voyages, il les a photographiées.

Il nous livre TRUE TRIPS, une odyssée composée de photos et vidéos aussi énigmatiques que puissantes.

Oubliez la soirée diapos au retour de vacances. Il ne s’agit pas, ici, de fixer des souvenirs mais de rentrer dans un monde. Son monde.

Incongru, fantasque, mystérieux, drôle ou inquiétant.

Et ça picote !

IL FAUT Y CROIRE POUR LE VOIR.

Mais surtout, ça questionne. Sur la réalité. Celle qu’on perçoit. Et sur la vérité que nous lui accordons.

À l’heure de l’intelligence artificielle et de son flot de fake news, Michael ébranle nos certitudes et nous confronte à nos propres convictions. C’est quoi la vérité ? Si ce n’est ce que nous voyons au travers de nos filtres et biais personnels.

Alors ? Réalités ou illusions ? À vous de voir !

C’EST TOUT ? BEN NON, ÇA COMMENCE. VIVEZ UNE EXPERIENCE TOTALE !

Vous pensez que True Trips se feuillette tranquillement avec une tasse de thé ? Que nenni !

Passé les premières réactions (surprise, incrédulité, méfiance, adhésion), l’auteur vous invite à une véritable immersion dans son univers. A chaque photo correspond une vidéo. Embarquez pour l’Australie, découvrez Paris by night comme vous ne l’avez jamais vu, foulez le sol rouge de la Cordillère des Andes…

À VOUS DE JOUER !

Chaque photo se transforme en carte postale. Envoyez-les à votre tour. À vos proches, vos amis, aux gens que vous aimez.

Vous kiffez une, plusieurs vidéos ? Vous vous les repassez en boucle ? Be a real collector 🤘 et faites-les voyager, partagez-les.

Et pourquoi ne pas en faire part à Michael ?Cela lui inspirera peut-être un True Trips 2 toujours plus dingue.

QUI EST MICHAEL BAUMGARTEN ?

Natif d’Allemagne, Michael commence par y créer un festival de photos puis rejoint Paris en 1993. Autodidacte et curieux, son talent et son regard exigeant lui ouvre très vite des portes.D’abord séduit par l’aspect éphémère des magazines, il collabore avec VOGUE, World of Interiors, New-York Times et bien d’autres. Parallèlement, il élargit son travail au luxe (Hermès, Armani…).

Depuis 15 ans, avide de nouvelles expériences et de partage, il s’investit dans l’animation et la création numérique d’images qu’il déploie dans les galeries, le métaverse ou encore l’espace public.

Le regard n’est rien sans l’intelligence. Son travail personnel est un miroir à ses questionnements quasi philosophiques. Et en se questionnant, il nous élève.

INTRIGUÉS ? INTÉRESSÉS ? READY ?

Contact : MICHAEL BAUMGARTEN

Cellular : 06 85 10 91 37

Mail : michael@michaelbaumgarten

Site : michaelbaumgarten.com

SUM’UP VERY SUM’UP

Quoi : un recueil de 35 photos et vidéos associées. Chaque photo a son QR Code qui renvoie vers une vidéo. Chaque photo peut se transformer en carte postale.

Concept : réalité ou illusion ? Il faut y croire pour le voir !

Pourquoi ? : pour vous ébranler. Après tout, l’art, ça sert à ça, non ?

Qui ? : MICHAEL BAUMGARTEN. Visual artist.

Et maintenant, à vous de voir !

IMAGO de Philippe Sarr

IMAGO ? Ça veut dire quoi ?

David Laurençon, éditeur de son état, m’envoie un livre il y a deux mois. Je ne le connais quasiment pas (je parle de David, pas du bouquin, que je ne connais pas non plus d’ailleurs) mais j’en ai déjà une image d’éditeur exigeant et barré. On est en juillet, j’ai été confinée un mois et demi de plus que tout le monde. Autant vous dire que j’ai envie de tout, sauf de lire. Ça attendra.

Ça a attendu fin août. Je regarde la couverture, le titre, l’auteur. Imago de Philippe Sarr. Imago ? Ça me fait penser à Vertigo de Hitchcock. Ça existe comme mot, ça ? Ça veut dire quoi ? Obligée d’ouvrir le dico pour le titre, ça commence bien ! Allez, zou ! Google ! En biologie, imago c’est le stade final d’un individu dont l’évolution se déroule en plusieurs phases. C’est donc censé être la dernière étape, le point culminant, la version la plus aboutie d’un être vivant. D’un point de vue psychanalytique l’imago c’est une sorte d’état absolu, d’idéal. J’apprends même qu’il y a des thérapies de couple Imago qui, je cite, libèrent la joie chez les couples. Youhouuuu ! Qu’on m’apporte popcorns, coca et lunettes 3D, j’arriiiiiive !

C’est pas des popcorns que j’aurais dû prendre…

On dit souvent qu’un écrivain doit nous emmener quelque part. Là, c’est sûr que Philippe vous emmène quelque part et pas en Monospace version père de famille, plutôt en Hyperloop façon Elon Musk sous coke (pléonasme). Parfois, on a juste envie de lui dire : « Attends deux secondes. Est-ce que tu peux aller un tout petit peu moins vite s’il te plaît. Hein ? On va faire une pause, respirer, profiter du paysage. On n’est pas bien là ? Et puis on repartira gentiment ». Ben non, Philippe, c’est pas du genre à faire des pauses et à repartir gentiment. Il fonce. Tu t’adaptes à son rythme ou t’es éjecté du manège.

😤😤😤 Ok tu veux la jouer comme ça ? Et ben on va le décoder ton Imago !

Deux récits parallèles se font écho.

La réalité met en scène Jad, agent immobilier et écrivain. Jad fume (aucune importance mais j’aime bien les gens qui fument). Jad est malade, envahi par un virus qui lui bouffe le cerveau. Or, Jad a des choses à finir.

L’imaginaire. On plonge dans un monde d’autant plus perturbant qu’il nous semble très proche. Dans cette fausse réalité, l’auteur convoque tout son univers personnel : ses références littéraires, ses démons, ses peurs et ses fantasmes.

Plus on avance plus les récits s’entremêlent. Réalité ? Imaginaire ? Et si c’était ça notre imago ? Une fusion des deux ?

Philippe est fort et courageux.

Fort, car son écriture est multiple. Il est capable de vous immerger dans un quotidien terre à terre de vendeur d’appartements : les visites, les collègues, les déjeuners. Il réussit à rendre de façon presque palpable, une atmosphère, des lieux, des personnes. Puis, son écriture se libère des contingences matérielles, s’amplifie et vous entraîne dans son univers… ou vous force, c’est selon.

Courageux, car il en faut, du courage, pour écrire ainsi. Il expose tout, boutique et arrière boutique. Tout doit disparaître !

Sauf qu’il m’a perdue. Je tenais bon, pourtant. Certes, je soufflais comme un veau mais je maintenais mon allure. À la fin, j’ai lâché les élastiques. Il y avait trop de monde(s) dans sa tête pour la pragmatique que je suis.

Si vous aimez les histoires bien structurées, un début, un milieu et une fin : n’y allez pas.

Si vous êtes prêt à partir à la recherche de votre imago : foncez.

C’est simple, c’est chez Sans crispation éditions et il vous suffit de cliquer ici !

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